Skip to main content

Lors d’une catastrophe naturelle, c’est logique que le coût humain soit celui qui recueille le maximum d’attention. Les sinistres matériels sont évoqués : habitations impactées…. Les atteintes corporelles sont évoquées de façon prioritaire à juste titre. Mais il ne faut pas oublier le coût environnemental de ces épisodes. L’incendie récent dans le massif des Maures en est une illustration. La faune et la flore sont éprouvées dans des conditions dramatiquement historiques. Une réalité qui met en évidence l’absolue nécessité de dispositifs d’anticipation dans toute la mesure du possible pour éviter ou du moins limiter un préjudice qui change totalement la vie dans un territoire.