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Les arrêtés préfectoraux limitatifs d’usages de l’eau se multiplient depuis le 15 juillet. Une réalité qui mérite d’être prise en considération. Le dérèglement climatique, c’est l’existence de séquences plus denses de sécheresse, de vents, comme de pluies torrentielles. Cette densité nouvelle va imposer une révision des politiques publiques. Parce que les usages visent la situation « ancienne » de séquences aux effets modérés qui ne correspondent plus aux cycles nouveaux.