Tout dernièrement, l’agence de l’Eau Rhône Méditerranée Corse a mis en évidence le contrat de rivière conclu au sujet de la Saône. On insistera probablement jamais assez sur l’originalité positive du droit de l’eau conçu dès la loi de 1964 qui a su dépasser les limites administratives pour intégrer des logiques territoriales de bassins versants. C’est une création remarquable donnant une cohérence globale aux actions. Ce fut à cette date l’un des apports majeurs de « l’école française de l’eau » que d’adapter l’approche administrative à la nature et non pas le contraire. Une conception que traduisent les contrats de rivières appliqués à la Saône tout dernièrement comme à bon nombre d’autres rivières.
Le contrat de rivière #Saône s'enrichit en 2020-2021 d'un nouveau plan d'actions pour protéger la ressource en eau. Entretien avec Dominique Girard, président du comité de rivière @RollinFrancois https://t.co/fbCbaaXHew pic.twitter.com/rjANMxny5W
— Sauvons l'eau (@SauvonsLeau) August 18, 2020