Après en moyenne 75 jours sans pluie et parfois des séquences temps de très forte canicule, le dossier de la sécheresse a pris une dimension nouvelle. Mais aussi le dossier des eaux de ruissellement car, dès les premiers orages, la terre tellement sèche n’absorbait pas l’eau créant alors en aval des dégâts parfois particulièrement sérieux. En très peu de temps, des zones passaient ainsi du pas assez d’eau à … trop d’eau. La sécheresse a également mis en évidence des conflits d’usages, des menaces d’une grande gravité sur l’existence même de la biodiversité autour de rivières, sur la pollution de plans d’eau frappés d’eutrophisation, sur le devenir d’exploitations agricoles donc sur des empois de proximité … et tant d’autres réalités que cette période a ainsi mis en relief. Dans de nombreux endroits, à la sortie de l’été 2020, les batailles de l’eau ont pris un visage concret qu’elles n’avaient pas encore préalablement.
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— Eau Adour-Garonne (@Adour_Garonne) July 31, 2020