Hier, c’était la journée mondiale de la Terre. Actuellement, la crise sanitaire écrase toute l’actualité. Mais d’autres crises avancent. Comme la crise climatique. La crise climatique, c’est quoi : chaque épisode (sécheresse, froid, vent, pluie …) devient plus intense et plus long. Par conséquent, l’impact devient plus brutal, plus rude. Au niveau des Etats, les déclarations des bonnes intentions étalées dans le temps sont profusion. En attendant les dates lointaines affichées, tous les mauvais indicateurs sont au rouge. Les actions réelles à effet immédiat sont actuellement conduites par des acteurs locaux. C’est une réalité qui mérite d’être observée et considérée. Que font-ils ? Ils diversifient les ressources d’alimentation en eau avec des maillages de réseaux. Ils renforcent les digues de protection face aux pluies torrentielles. … Ce sont ces mesures concrètes là qui permettent de sécuriser des territoires face aux effets du dérèglement climatique. Encore faudrait-il rapidement s’attaquer aux racines de ce dérèglement climatique. Et ce volet là est du ressort des Etats.