Tout particulièrement pour certains sentiers de haute montagne, les passionnés du secteur s’offusquent de toute médiatisation d’un parcours. Ils considèrent que « partager avec le grand nombre », c’est prendre le risque de détruire cet endroit. Cette conception restrictive d’usages peut paraître choquante. Mais sur le fond, il y a malheureusement une part de vérité sur les risques éventuels. Le partage suppose le respect par le grand nombre. C’est un acte civique fort. Ce souci trouve actuellement une application avec les plages. Une pédagogie collective est indispensable.
La charte pour des plages sans plastique, c'est la mobilisation de communes qui s’engagent à sensibiliser les habitants, collecter les déchets et nettoyer les plages. Objectifs : protéger la #biodiversité et rendre les plages plus accueillantes en préservant l’environnement 🏖 pic.twitter.com/XDjWTsvGjF
— Ministère de l’Écologie (@Ecologie_Gouv) August 12, 2020